Zusammenfassung In diesem Artikel werden Daten von einigen Chicagoer Grundschulklassen zu den von Schülern zum Rechnenlernen benutzten Methoden verwertet. Anhand ähnlicher Daten aus einigen Entwicklungsländern wird überprüft, ob es von Vorteil oder Nachteil ist, das außerhalb des Schulunterrichts entwickelte mathematische Wissen zu verwenden, um den Umfang, die Reichweite und die Fähigkeit des durch die formale Bildung gewonnenen Wissens zu erweitern. Dadurch wird versucht, die oft vertretene Meinung, der Schlüssel zur Qualitätsverbesserung in den Grundschulen läge in der Verbesserung der Instruktionstechnologien mit dem Standpunkt derjenigen in Einklang zu bringen, die glauben, es läge am tieferen Verständnis der Denkweise von Kindern. Der Artikel schließt mit dem Argument, daß die Qualität des Grundschulunterrichts durch geschicktes Handhaben des durch die Umwelt erworbenen Wissens, das die Schüler zum Lernen anregt, verbessert werden kann, wenn dieses Wissen durch pädagogische und curriculare Mitsprache in eine Reihe tragbarer intellektueller Fähigkeiten verwandelt wird.

Résumé Le présent article se sert des données fournies par plusieurs classes élémentaires de Chicago sur la manière dont les élèves apprennent à calculer, et examine les données similaires de plusieurs pays en développement pour analyser les points forts et les points faibles de l'exploitation des connaissances en mathématiques que les élèves acquièrent seuls en dehors de l'école formelle pour renforcer la quantité, la portée et l'intensité du savoir mathématique qui est acquis à l'école formelle. Pour ce faire, on tente de rapprocher les vues de ceux qui croient que la clé de l'amélioration de la qualité de l'école élémentaire réside dans l'amélioration de la technologie et de ceux qui pensent qu'elle réside plutôt dans une plus grande compréhension de la vie mentale des enfants. L'auteur de cet article conclut en montrant que la qualité de l'enseignement fondamental peut être améliorée grâce à une gestion experte du savoir acquis localement que les élèves apportent dans leur éducation, à condition que ce savoir puisse être transformé par des interventions pédagogiques et curriculaires en une série de compétences intellectuelles valables.